Chaque année, un adulte sur dix vit les symptômes d’une crise d’angoisse. S’il est parfois simple de comprendre ce qui a déclenché la crise d’angoisse, il est aussi possible que vous ayez la sensation de suffoquer et que vous ressentiez des douleurs à la cage thoracique sans pour autant percevoir l’origine de la crise.
Vous vivez bien une crise d’angoisse, pourtant vous ne comprenez pas pourquoi cela vous arrive. Vous vous dîtes « Je fais une crise d’angoisse sans raison », mais on ne fais jamais de crise d’angoisse sans raison. Dans cet article, nous revenons sur les sept causes les plus courantes à l’origine des crises d’angoisse.
Pour commencer, quand faîtes vous une crise d’angoisse ?
Votre cœur s’emballe. Vous frissonnez. Votre respiration devient rapide, superficielle. Vous tremblez. Vous ressentez des palpitations cardiaques. Elles sont si fortes que vous avez l’impression que vous allez mourir. Vous ressentez une sensation d’étouffement, de vertiges et même une peur imminente de mourir. Vous craignez d’être en train de perdre le contrôle, vous êtes confus et soumis à une forte agitation. Vous vivez ce que l’on appelle une crise d’angoisse.
Reconnaître une crise d’angoisse est essentiel pour pouvoir y faire face efficacement. Bien que les symptômes varient d’une personne à l’autre, une crise d’angoisse se distingue par son caractère soudain et intense. Elle peut durer de quelques minutes à une heure, vous laissant tremblant et épuisé. Elle peut être unique ou devenir récurrente, créant ainsi une source de préoccupation et d’anxiété supplémentaire : et si vous perdiez à nouveau le contrôle ?
C’est ce qu’on appelle le trouble panique : vous êtes dans l’anxiété permanente, par peur de voir survenir une nouvelle attaque de panique. Apprendre à reconnaître les signes précurseurs et les symptômes spécifiques d’une crise d’angoisse, c’est être mieux équipé pour identifier et gérer ces épisodes d’anxiété.
Anxiété ou angoisse ?
Top 7 des raisons des crises d’angoisse sans aucune raison apparente
Rassurez-vous, de nombreuses raisons peuvent expliquer vos crises d’angoisse. Vous ne les avez juste pas encore identifiées. Parmi les causes les plus courantes des crises d’angoisse sans raison, on retrouve :
- Un événement passé enfoui ;
- La dépression ;
- Le trouble panique ;
- Les médicaments ;
- La caféine et une alimentation déséquilibrée ;
- L’alcool et les substances illicites ;
- Le manque de sommeil.
Cause n° 1 : un événement passé enfoui
À l’origine des crises d’angoisse sans raison apparente, le traumatisme est l’un des facteurs associés le plus fréquent.
Il est possible que vous ayez vécu un événement traumatisant, sans avoir été en mesure de le reconnaître et de l’identifier. Il peut avoir eu lieu pendant votre enfance, votre adolescence ou votre vie d’adulte. Mais, vous l’avez inconsciemment enfoui au plus profond de vous. On parle d’un événement à potentiel traumatique lorsqu’une personne s’est trouvée confrontée à la mort, à la peur de mourir ou à de graves blessures, ou lorsque son intégrité physique ou celle d’une autre personne proche d’elle a été menacée.
Vous pouvez en effet vivre cet événement par ricochet : il ne vous est pas arrivé directement à vous, mais à une personne proche de vous. Certaines professions sont également exposées fréquemment à des situations traumatiques, comme les pompiers ou le personnel soignant. Elles présentent alors plus de risques de développer des crises d’angoisse.
Ajoutons à cela que d’après Santé Publique France, en cas d’événement traumatique unique, 10 à 40 % des personnes exposées sont susceptibles de développer des troubles chroniques. De plus, certaines personnes sont exposées à des épisodes traumatiques à répétition ou pendant toute une période. C’est souvent le cas avec les violences conjugales, psychologiques, sexuelles et les maltraitances durant l’enfance.
Votre expérience compte
Vous pouvez par ailleurs souffrir d’amnésie dissociative : c’est l’incapacité, totale ou partielle, de se remémorer des expériences récentes ou éloignées dans le passé. Si l’amnésie est induite par une perturbation psychologique plutôt qu’un trouble médical général, on parle d’amnésie dissociative.
C’est un mécanisme de défense : le cerveau choisit de déconnecter les émotions et la mémoire. Il est submergé et n’est plus en capacité de contenir ou de réguler ce qu’il subit. Les souvenirs sont alors profondément enfouis, gelés dans une mémoire traumatique. Toutefois, l’événement est arrivé et certaines situations peuvent venir déclencher, inconsciemment, votre mémoire. L’une des conséquences est alors la crise d’angoisse.
Cause n° 2 : la dépression
D’après l’OMS, 5 % des adultes souffrent de dépression et de ses symptômes. Que le trouble dépressif soit unique ou récurrent, la personne qui en souffre peut voir son anxiété s’aggraver, jusqu’à faire des crises d’angoisse, sans avoir pourtant conscience de la cause de ces crises. En effet, l’anxiété est l’un des effets de la dépression sur le cerveau.
Vous pouvez aussi vivre une dépression réactionnelle, c’est-à-dire une dépression ponctuelle en réaction à un événement : perte d’emploi, rupture amoureuse ou décès d’un proche, par exemple. Souvent, les manifestations de stress vont apparaître, associées à des reviviscences mémorielles et sensorielles, en lien avec l’événement traumatique. Elles surviennent par fragments et vous prennent par surprise, provoquant des crises d’anxiété.
Si le diagnostic d’une dépression est essentiel pour pouvoir être pris en charge et aller mieux, la personne touchée ne comprend pas toujours ce qu’elle vit et par conséquent, ne va pas toujours aller rechercher les réponses à son état dépressif. Or, d’après l’Inserm, sans prise en charge, un épisode dépressif peut se résoudre spontanément en moins d’un an. Mais attention, dans ce cas les épisodes dépressifs sont alors récidivants chez 80 % des patients.
Diagnostiqué ou non, un trouble dépressif peut être à l’origine de vos crises d’angoisse. En effet, la dépression a généralement pour conséquence d’augmenter votre anxiété. Lorsqu’elle atteint son paroxysme, celle-ci peut déclencher une crise.
Cause n° 3 : le trouble panique
Le DSM-5, le Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux, définit le trouble panique comme des : « attaques de panique récurrentes et inattendues ». Il précise qu’une attaque de panique est une montée brusque de crainte intense ou de malaise intense qui atteint son acmé en quelques minutes, avec la survenue de plusieurs symptômes, similaires à ceux d’une crise d’angoisse.
Dans le cadre d’un trouble panique, une personne souffre d’épisodes de crises d’angoisse aiguë, qui se répètent pendant un mois ou plus, avec la crainte continuelle d’en vivre à nouveau. Les crises peuvent survenir spontanément ou sont en lien avec des événements particuliers.
Le trouble panique fait partie des troubles anxieux. D’après le site de la sécurité sociale Améli, il touche environ 1 à 3 % des Français à un moment ou à un autre de leur vie. 2/3 des personnes souffrant d’un trouble panique présentent également une agoraphobie .
Les attaques de panique récurrentes combinent détresse physique et psychologique. Vous pouvez ressentir des palpitations, une accélération du rythme cardiaque, une transpiration excessive, des tremblements, une sensation d’essoufflement ou d’étouffement, une douleur thoracique, un étourdissement ou une faiblesse, des frissons ou des bouffées de chaleur, des nausées ou des douleurs abdominales. Parfois, ces symptômes sont si forts que vous aurez l’impression de faire une crise cardiaque.
D’après l’Inserm, les attaques de panique peuvent survenir en réponse à un événement redouté, à la prise de drogues ou à un sevrage. Mais, elles peuvent aussi se déclencher de manière inattendue, sans raison apparente.
Les troubles anxieux touchent environ 15 à 20 % de la population à un moment ou un autre de leur vie. Ils sont deux fois plus présents chez les femmes que chez les hommes. On retrouve 6 formes de troubles anxieux :
- L’anxiété généralisée ;
- Le trouble panique ;
- Les phobies spécifiques ;
- L’agoraphobie ;
- Le trouble d’anxiété sociale ;
- Le trouble d’anxiété de séparation.
Cause n° 4 : les médicaments
Lorsque vous avez la sensation de faire une crise d’angoisse sans raison, il est essentiel d’étudier toutes les causes possibles. Or, la prise d’un traitement régulier peut être à l’origine de vos crises d’anxiété. Ainsi, le Centre régional de pharmacovigilance de Toulouse a analysé 163 notifications d’attaques de panique enregistrées dans la base de données française de pharmacovigilance qui ont été imputées à divers médicaments. Généralement, les médicaments concernés sont :
- Des psychotropes ;
- Des anti-infectieux (la méfloquine, des antirétroviraux, des macrolides, des fluoroquinolones) ;
- L’isotrétinoïne ;
- Des corticoïdes.
On retrouve également dans la base européenne de pharmacovigilance plusieurs médicaments exposant à des troubles proches des symptômes de l’anxiété. Ils peuvent alors accélérer la survenue d’une attaque de panique. C’est le cas de médicaments participant à l’augmentation de la fréquence cardiaque tels que le salbutamol, la pseudoéphédrine, le méthylphénidate, la bupropione et les dérivés nitrés.
Malheureusement, les attaques de panique sont rarement mentionnées dans les notices des médicaments concernés. Il peut donc être intéressant d’évoquer cette possibilité avec un professionnel de la santé. Évidemment, il n’est pas recommandé d’arrêter votre traitement sans avoir au préalable demandé l’avis de votre médecin.
La pilule contraceptive peut aussi être mise en cause. D’après une étude danoise publiée en 2016, la prise d’une contraception hormonale favorise parfois le déclenchement d’une dépression. Ajoutons que la pilule paraît exacerber la peur. Selon une étude menée par l’Université d’Ottawa, l’utilisation de contraceptifs oraux entraîne des changements structurels importants dans les régions du cerveau impliquées dans le traitement de la mémoire et des émotions. Ils modifient également la réactivité au stress. Les femmes sous pilule auraient plus de difficulté à contrôler leurs émotions de peur.
La pilule pourrait donc être potentiellement à l’origine de vos crises d’angoisse. En cas de crises d’angoisse fréquentes, il est donc intéressant d’étudier cette possibilité avec votre médecin. Vous pourrez ainsi savoir si votre moyen de contraception est mis en cause et dans ce cas, trouver une solution pour le remplacer.
Cause n° 5 : la caféine et une alimentation déséquilibrée
Mauvaise nouvelle pour les addicts au café : la caféine peut avoir un impact négatif sur votre anxiété. On le sait tous, la caféine est un stimulant naturel. Or, l’un de ses principaux effets est de bloquer les récepteurs d’adénosine avec pour conséquence l’augmentation de la dopamine, de la noradrénaline et du glutamate.
Ainsi, lorsqu’elle atteint le système cardiovasculaire, la caféine va accroître la pression artérielle et le rythme cardiaque. Si des doses faibles de caféine peuvent améliorer l’activité motrice et la vigilance, une consommation plus élevée peut produire des symptômes d’anxiété.
Alors, combien de tasses de café boire par jour ? L’EFSA, l’Agence Européenne pour la Sécurité des Aliments, conseille de ne pas dépasser 400 mg de caféine par jour pour un adulte en bonne santé. Cela correspond à environ trois tasses de café par jour. Vous pouvez tenter de remplacer votre boisson du matin préférée par une boisson sans caféine pour voir si cela provoque des changements sur vos crises d’angoisse. À vous la chicorée !
Une alimentation déséquilibrée va aussi avoir un impact négatif sur votre niveau de stress et peut donc encourager vos crises d’angoisse. C’est aussi le cas lorsque vous sautez des repas : le taux de sucre dans le sang diminue, votre corps passe en mode survie avec pour résultat, une augmentation de l’anxiété.
Cause n° 6 : l’alcool et les substances illicites
Dans l’imaginaire collectif, on prend un verre pour se détendre. Sauf que l’alcool tend à augmenter l’anxiété. Si l’alcool semble nous relaxer sur le coup, quelques heures après avoir cessé de boire de l’alcool, la production du gaba diminue. Ce neurotransmetteur n’arrive alors plus à remplir sa fonction d’apaisement.
Dans le même temps, les émetteurs qui engendrent l’anxiété augmentent. Après la fête, vient donc l’anxiété. Les Anglo-saxons ont même donné un nom à ce phénomène : l’hangxiety. C’est simplement la contraction des mots hangover (gueule de bois) et anxiety.
À côté de cela, l’alcool baisse la quantité de la sérotonine dans notre cerveau. Cette hormone participe à réguler et à équilibrer l’humeur. Ainsi, la consommation excessive d’alcool peut entraîner des sentiments dépressifs et anxieux susceptibles de déclencher des attaques de panique et des crises d’angoisse.
Le centre de toxicomanie et de santé mentale de Toronto a remarqué une forte présence de la protéine TSPO chez les consommateurs de cannabis. Cette dernière est liée à l’inflammation du cerveau. Or, selon le Dr Jeffrey Meyer, l’inflammation du cerveau est une des causes de l’anxiété et du stress chez les individus.
Certaines études épidémiologiques ont également montré que les comorbidités psychiatriques et addictologiques étaient très fréquentes chez les consommateurs réguliers de cannabis. Ainsi, lors de ces études, jusqu’à 20 % des usagers ressentaient des attaques de panique pendant la consommation.
Ajoutons à cela que les conduites addictives sont sources d’anxiété, même si parallèlement, l’anxiété peut expliquer le recours à l’usage de drogues ou une entrée dans la dépendance.
Cause n° 7 : le manque de sommeil
Anxiété et sommeil sont étroitement liés. C’est un cercle sans fin : les personnes anxieuses souffrent davantage de manque de sommeil. Sauf que d’après plusieurs études, le manque de sommeil peut lui aussi entraîner des troubles anxieux, dont des crises d’angoisse sans raison apparente.
Il faut savoir que notre système nerveux se compose de deux systèmes autonomes : le système parasympathique et le système sympathique.
Le système sympathique sert principalement à préparer l’organisme à réagir en cas de stress ou d’urgence, pour combattre ou fuir. Il va par exemple accélérer notre fréquence cardiaque et dilater nos voies respiratoires pour nous aider à mieux respirer en cas d’effort. Le système parasympathique, lui, va essentiellement aider à conserver et à restaurer notre organisme, grâce au sommeil et au repos par exemple.
Or, les insomniaques auraient un système sympathique anormalement actif, ainsi qu’un taux de cortisol, l’hormone du stress, plus élevé. De plus, une étude menée à l’Université de Californie à Berkeley en 2020 a trouvé une nouvelle fonction du sommeil profond : il aurait notamment pour rôle de réorganiser certaines connexions du cerveau et de réduire l’anxiété. Le sommeil a donc un fort impact sur notre bien-être émotionnel et sur notre niveau de stress.
Alors, l’un des remèdes à vos crises d’angoisse est peut-être de prêter plus attention à votre temps de sommeil, comme à sa qualité. À accompagner d’une bonne hygiène de vie. Une alimentation équilibrée et une pratique sportive régulière sont les bienvenues !
5 solutions aux crises d’angoisse sans raison apparente
Il peut être effrayant de faire des crises d’angoisse sans comprendre les raisons. Une partie de la réponse est là : vous ne faites pas des crises sans raison. Vous ne les avez juste pas encore identifiées. La première étape est donc de comprendre et de connaître les déclencheurs. Ensuite, vous pourrez trouver des moyens de vous apaiser, notamment grâce aux techniques de respiration. Enfin, pour vous aider à traverser ces étapes, qui peuvent vous donner l’impression de perdre le contrôle, voire de sombrer dans la folie, nous vous recommandons de vous faire accompagner par un psychologue.
Solution n° 1 : Comprendre et connaître les déclencheurs de la crise
Pour arrêter de vous sentir démuni face à vos crises d’angoisse, il est essentiel de comprendre pourquoi vous venez d’en vivre une :
- Est-elle arrivée lors d’une situation particulière ?
- Dans quel environnement étiez-vous ?
- Quel a été l’élément déclencheur ?
Si les réponses sont parfois simples à trouver (se retrouver face à l’objet de sa phobie, par exemple), ce n’est pas toujours le cas pour tout le monde. Il peut alors être intéressant d’écrire (pour décrire) les situations dans lesquelles les crises sont survenues, en vous concentrant également sur les facteurs bien-être :
- Comment vous sentiez-vous ce matin au réveil ?
- Quelle a été votre hygiène de vie ces derniers jours ?
- Avez-vous des pensées particulièrement récurrentes et préoccupantes ces derniers temps ?
En tenant un journal de vos crises d’angoisse, vous serez sûrement en mesure de trouver des déclencheurs communs, comme le fait de vivre une situation stressante au travail tout en ayant manqué de sommeil, par exemple. Eh oui, votre crise d’angoisse n’est souvent pas causée par une seule et unique raison, mais par la combinaison de plusieurs éléments qui vont vous empêcher de vivre la situation sereinement.
Solution n° 2 : S’apaiser grâce à des techniques de respiration
Les techniques de respiration sont habituellement redoutablement efficaces pour calmer ou désamorcer une crise d’angoisse. Lorsque vous êtes dans une situation stressante ou angoissante, votre respiration tend à s’accélérer. Or, une respiration courte et superficielle encourage la sensation d’oppression, qui alimente elle-même l’angoisse. Elle favorise aussi un état physiologique et nerveux d’hyperactivation.
Reprendre le contrôle sur votre respiration, c’est favoriser un retour au calme. Lorsque vous sentez la crise arriver, concentrez-vous sur l’air qui rentre et sort à l’intérieur de vous. Prenez soin de respirer lentement, par l’abdomen et le ventre plutôt que par la cage thoracique. Inspirez par le nez, puis expirez lentement par la bouche. Vous pouvez compter si cela vous aide : 5 secondes d’inspiration, 5 secondes où vous retenez votre souffle, 5 secondes où vous expirez.
En méditation, on dit souvent de ressentir comme l’air qui entre par votre nez est frais, tandis que l’air qui ressort de vous est chaud. Vous concentrer sur ces sensations peut vous aider à ramener du calme dans l’instant présent.
Solution n° 3 : Calmer les crises d’angoisse nocturnes
Calmer les crises d’angoisse nocturnes peut sembler compliqué. Elles nous réveillent et nous saisissent en plein milieu de la nuit, à un moment où nous sommes particulièrement vulnérables. Les techniques de respiration et de cohérence cardiaque sont particulièrement recommandées pour vous apaiser. Il est aussi conseillé d’instaurer une routine d’avant-sommeil saine :
- Un dîner léger ;
- Une tisane de plantes aux vertus relaxantes ;
- Pas d’écran la dernière heure avant le coucher ;
- Une température de 18 à 20 °C dans la chambre ;
- Un moment de journaling pour évacuer les angoisses et se concentrer sur les choses positives.
Solution n° 4 : Se faire aider par un professionnel
Selon votre niveau d’angoisse, vous pouvez éventuellement surmonter ces crises par vous-même. Toutefois, vous faire accompagner par un ou une psychologue est recommandé pour vous aider à comprendre ce qui déclenche ces crises, à trouver les techniques qui fonctionnent pour vous calmer et pour travailler ensemble sur les causes de votre angoisse.
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) constitue une solution psychothérapeutique efficace. Cette thérapie brève a pour objectif de remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité.
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