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Syndrome de l’imposteur : 9 Signes pour le reconnaître (+ Solutions)

Antoine Peytavin et son équipe de psychologues de Psychologue.fr, diplômés et enregistrés au RPPS, rédigent et valident chaque article avec la plus grande rigueur.

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Le syndrome de l’imposteur prend de plus en plus de place dans les médias et dans notre société, mais sait-on ce qu’il englobe réellement ? Comment faire pour l’identifier et s’en débarrasser une bonne fois pour toutes, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel ? Les experts de PsyVize vous donnent les clés pour démasquer ce sentiment d’imposture et reprendre confiance en vous.

Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ? (Définition)

Le syndrome de l’imposteur se rapporte à un sentiment de doute permanent pour la personne qui en souffre. Que ce soit à son égard ou à l’égard de ses compétences, ce syndrome entretient chez la personne l’idée qu’elle est incompétente et que ses succès (professionnels, scolaires ou personnels) ne sont que le fruit de la chance ou du hasard. Le décalage entre la perception des autres et la perception faussée de soi-même est intimement lié au syndrome de l’imposteur.

Le concept de syndrome de l’imposteur a été inventé par Pauline Rose Clance et Suzanne A. Imes en 1978 et fait aujourd’hui partie des troubles vécus notamment par les entrepreneurs, les médecins ou encore les étudiants. Ce syndrome est un trouble psychologique qui n’est pas encore réellement reconnu au niveau médical, mais qui ne cesse de gagner du terrain et d’impacter tout type de personne – en dehors des réels imposteurs, qui eux ne se soucient pas de se faire démasquer ou non. Le sentiment d’imposture impacte tant le bien-être de l’individu que la qualité de son travail ou de ses relations interpersonnelles.

Le syndrome de l’imposteur, aussi appelé syndrome de l’autodidacte, puise son énergie dans différentes causes : manque de confiance en soi, faible estime de soi, individualisme inhérent à notre société ou encore enfance perturbée par la non-reconnaissance des succès personnels. Toutes ces causes peuvent conduire la personne à vivre en permanence entourée de doutes, autant dans sa sphère privée que professionnelle.

Il n’est pas toujours évident de faire la part des choses entre le syndrome de l’imposteur et le manque de confiance en soi tant certains symptômes sont similaires. Toutefois, ce trouble de l’imposteur est de plus en plus abordé et son impact psychologique peut entraîner d’autres troubles ainsi qu’une grande fatigue, aussi bien corporelle que psychologique. Voici les 9 signes les plus courants pour démasquer un complexe de l’imposteur.

Signe n° 1 : Vous avez un haut niveau d’exigence envers vous-même

Vous êtes constamment tiraillé par votre perfectionnisme et vous avez l’impression que ce que vous faites n’est jamais assez bien ? Ce trait peut être attribué au syndrome de l’imposteur et en est une des composantes principales.

Cette sous-évaluation systématique de la qualité de votre travail vous conduit à avoir des attentes démesurées envers ce que vous entreprenez, et vous ne comptez plus les heures passées à peaufiner des détails, souvent jusqu’à l’épuisement. Au travail, aucune montagne n’est trop haute à gravir pour vous, vous vous engloutissez sous le flot de tâches à faire parce qu’en réalité vous vous sentez coupable d’occuper la place que vous avez dans l’entreprise.

À la maison ou dans votre couple, vous déployez constamment des efforts surhumains pour compenser votre sentiment d’imposture : vous devenez responsable en chef de toutes les tâches ménagères et vous supervisez l’ensemble de ce qu’il se passe dans votre foyer, quitte à noyer votre charge mentale et frôler le surmenage voire le burnout maternel.

Cette haute exigence vous pousse à toujours viser les sommets, parfois jusqu’à l’utopie. Le complexe de l’imposteur est traître : si vous ne le démasquez pas, vous pouvez rester bloqué dans ses chimères, car ce syndrome a tendance à vous faire croire que tout ce que vous mettez en place n’est jamais suffisant ni à la hauteur de vos attentes.

Le syndrome de l’imposteur et les autres
Une des caractéristiques phares de ce complexe est la propension à attribuer toutes les excuses possibles aux autres. Si une personne sous votre responsabilité n’a pas terminé une tâche, vous pensez que c’est de votre faute : elle fait de son mieux, et vous lui en avez trop demandé. Dans votre couple, l’hyper exigence que vous avez développée envers vous-même est proportionnelle à l’indulgence que vous cultivez pour votre partenaire. Vous prenez constamment la faute sur vous, au point de vous excuser sans raison et de valoriser votre partenaire tout en en vous rabaissant. Cette conduite peut mener à un trouble de l’attachement tel que la dépendance affective, ou encore vous faire glisser dans une relation toxique, faute d’équilibre entre vous et votre partenaire.

Signe n° 2 : Vous ressentez souvent de la culpabilité

La culpabilité est l’un des sentiments que vous ressentez le plus souvent dans votre quotidien. Après une réunion au travail, une conversation dans votre couple ou un événement avec votre entourage, ce sentiment de culpabilité est omniprésent et apparaît sans prévenir. À cause de votre syndrome de l’imposteur, vous avez l’impression que ce qu’il vous arrive est forcément une erreur :

  • Votre partenaire vient de vous avouer son amour ? Il a forcément voulu dire autre chose.
  • Vous venez d’obtenir une promotion ? C’est sans doute un quiproquo.
  • Votre famille veut vous emmener en vacances ? Elle a pitié de vous.
  • Etc.

Vous êtes amené à vous sentir coupable des mérites attribués : vous allez tôt ou tard finir par être démasqué et tout le monde se rendra compte que finalement, vous n’en valiez pas le coup. Ce genre de pensées intrusives liées au trouble de l’imposteur sont néfastes pour votre confiance en vous et votre développement personnel : elles peuvent même conduire à un état dépressif ou déclencher des crises d’angoisse, tant votre cerveau ne se sent pas à sa place.

La culpabilité et le sentiment d’être illégitime font partie des grands pièges du syndrome de l’imposteur et peuvent engendrer une réelle souffrance psychologique. De plus, vivre avec la culpabilité est extrêmement énergivore et pesant mentalement. Si c’est votre cas, il serait intéressant de vous pencher sur vos blocages, émotionnels ou psychologiques, afin de trouver un équilibre dans vos domaines de vie et d’appréhender votre quotidien avec plus de sérénité.

Signe n° 3 : Vous refusez que l’on vous félicite ou vous complimente

Vous avez la conviction profonde de ne pas mériter ce qui vous arrive et faites donc tout votre possible pour éviter d’être sous le feu des projecteurs. Lorsqu’il vous arrive quelque chose de positif, que vous décrochez une promotion ou êtes mis en avant par votre partenaire, il s’agit forcément d’une erreur. En revanche, lorsque vous vous trompez, vous allez automatiquement vous attribuer les facteurs de cette défaite, en assumant l’entière responsabilité des résultats, même lorsque ceux-ci sont dus à des éléments extérieurs.

Ce biais d’attribution est un des éléments les plus impactants du sentiment d’imposture, car il vient appuyer le fait que vous vous sentez incompétent dans votre domaine d’activité ou dans votre relation amoureuse par exemple. Vous rejetez en bloc les compliments ou les félicitations, pensant qu’ils ne sont pas de votre fait et craignant que cette lumière projetée sur vous ne fasse apparaître les contours de votre masque d’imposture.

En réalité, ce rejet du succès vient renier vos années d’expérience, vos compétences réelles ainsi que votre savoir-faire, qui disparaissent sous les couches de doutes et d’autodénigrement. Ce cercle vicieux propre au syndrome de l’imposteur contribue à la dégradation de votre estime de vous et est en grande partie responsable des troubles psychologiques liés au trouble.

Signe n° 4 : Vous minimisez sans cesse vos accomplissements

En tant que victime du syndrome de l’imposteur, vous banalisez vos réussites et refusez une promotion ou une possibilité d’évolution, pensant fermement que vous n’êtes pas qualifié pour cela. Minimiser vos accomplissements vous aide à ne pas trop vous faire remarquer et passer inaperçu vaut mieux que de risquer d’être démasqué selon vous. Inconsciemment, vous êtes convaincu que vous n’êtes en rien responsable de votre réussite :

  • Ce ne sont pas vos longues heures de travail qui vous ont permis d’avoir cette augmentation, mais simplement un coup de chance.
  • Si vous avez réussi à obtenir ce poste, ce n’est pas grâce à vos compétences mais c’est le coup du hasard.
  • Ce dossier sur lequel vous étiez depuis des mois ? Ce n’était pas si compliqué finalement.
  • Etc.

Dans les relations interpersonnelles, les femmes atteintes du syndrome de l’imposteur ont tendance à minimiser systématiquement leurs accomplissements mais également les tâches effectuées pour le foyer. Les femmes et personnes issues de minorités sont plus touchées par le syndrome de l’imposteur, grandissant souvent dans un environnement non propice à la mise en valeur de leurs compétences et leurs capacités. Les femmes de couleur sont d’autant plus touchées par ce syndrome de l’imposteur, étant extrêmement peu présentes dans des postes comme les conseils d’administration des entreprises.

Les facteurs de cette minimisation peuvent être multiples : la pression exercée par vos parents lorsque vous étiez à l’école pour avoir les meilleurs résultats, les préjugés sociaux liés au genre ou à l’origine, ou encore une trop forte pression face aux responsabilités, que ce soit au travail ou dans votre couple.

Les femmes et le sentiment d’imposture

Selon de nombreuses études, les femmes font partie des personnes les plus touchées par le syndrome de l’autodidacte. Ceci est lié à de nombreux facteurs, notamment le fait qu’une femme accède plus difficilement qu’un homme à un poste de direction ou encore qu’une femme peut se voir freinée dans son parcours professionnel par le fait qu’elle peut tomber enceinte.

De plus, lorsqu’une femme vient à avoir des enfants, elle peut se sentir à la fois coupable vis-à-vis d’eux de les laisser pour se rendre au travail, et culpabilise également d’avoir la tête ailleurs en pensant à ses enfants lorsqu’elle est à son poste. La pression reposant sur les épaules d’une femme, pour qu’elle soit à la fois une « bonne mère » et une employée modèle, peut la conduire à souffrir d’un syndrome de l’imposteur.

Signe n° 5 : Vous êtes toujours dans la surcompensation, au travail ou dans votre vie personnelle

Vous pensez peut-être qu’en faire toujours plus vous aidera à combattre ce complexe de l’imposteur et vous en libérez : en réalité, cela ne fait que resserrer vos chaînes. La surcompensation, typique du sentiment d’imposture, peut prendre ses racines dès l’enfance, notamment en grandissant auprès de parents toxiques.

Si vous avez connu un décalage entre le regard des professeurs sur votre travail à l’école et une forte dévalorisation de la part de vos parents à la maison, que vous aviez l’impression de ne jamais en faire assez en tant qu’enfant pour combler les attentes parentales ou encore que vous deviez vous soucier du bien-être de vos parents par exemple, alors tous ces éléments ont pu altérer l’estime naissante que vous vous portiez.

Le plus gros risque que comporte cette surcompensation est de vous mener à l’épuisement mental, au burn-out ou encore à la dépression chronique. Cette manifestation chez les patients atteints du syndrome de l’imposteur va de pair avec le fait de banaliser ses réussites. En effet, la surcompensation au travail ou dans les tâches quotidiennes du foyer peut étouffer les petites victoires et renforcer le fait de ne pas se sentir à la hauteur.

La plupart des patients victimes du sentiment d’imposture n’ont pas conscience de cette surcompensation : aveuglés par leur estime de soi très faible, ils pensent qu’un surplus de travail est une chose normale et même, méritée. C’est précisément ce type de comportement qui peut mener au burn out. Chez les étudiants par exemple, le syndrome de l’imposteur peut causer une sur-préparation aux examens : de nombreux cas sont des élèves surdoués qui pensent avoir besoin de travailler deux fois plus dur pour justifier leur réussite.

Signe n° 6 : Vous évitez le regard des autres à cause du sentiment d’imposture

Une des caractéristiques phares du syndrome de l’imposteur est la peur de se faire démasquer. En fuyant le regard des autres et le contact social, vous pensez limiter les risques de vous faire prendre la main dans le sac.

Vous vivez avec la crainte de vous faire remarquer, et que votre entourage professionnel ou personnel ne découvre l’horrible vérité : pas assez de diplômes, pas assez investi dans votre couple, pas assez de compétences pour être parent… Tout semble vous faire défaut.

Le syndrome de l’imposteur apporte son lot d’anxiété sociale, qui peut vous amener à vous éloigner de votre sphère de proches. L’angoisse accentue vos peurs, et vous avez constamment la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de votre tête. Si cette angoisse n’est pas traitée, elle peut gagner du terrain et se transformer en crises d’angoisse régulières et accentuer votre anxiété sociale.

Le syndrome de l’imposteur sur l’échelle de Clance
La peur constante du jugement d’autrui, la dépendance au succès ou encore les mécanismes psychologiques mis en place en vivant avec le syndrome de l’imposteur sont expliqués dans l’échelle de Clance, créée par Pauline Rose Clance pour aider à diagnostiquer le syndrome de l’imposteur.
Ce test vise à noter de 1 à 5 des assertions typiques du syndrome, par exemple « Parfois, je pense que mon succès est dû à une forme de chance ». En fonction de la notation, ce test permet de mettre en lumière ce sentiment subjectif d’incompétence, malgré tous les efforts et les résultats obtenus. C’est un bon moyen de réaliser à quel point le sentiment d’imposture est présent dans votre vie !

Signe n° 7 : Les doutes et les peurs sont des symptômes omniprésents dans votre réflexion quotidienne

Chez une personne atteinte du phénomène de l’imposteur, les doutes et les peurs font partie de la routine quotidienne. Remise en question de ses propres capacités, peur panique des premières fois, travail acharné pour compenser l’impression de ne pas être assez… Tous ces éléments sont autant d’indicateurs que vous vivez avec le syndrome de l’imposteur depuis un plus ou moins long terme.

Si votre patron vous confie de nouvelles responsabilités, cela vous amène à douter encore plus fort de vos compétences. Ce comportement peut même vous pousser à décliner une promotion ou encore à refuser de vous mettre en couple avec une personne car vous estimez ne pas être suffisamment qualifié ou à la hauteur. Comme la plupart des patients atteints de ce trouble, vous n’avez pas forcément conscience de vivre avec jusqu’au jour où vous mettez les mots sur ce qui coûte si cher à votre bien-être : l’idée constante de ne pas être assez.

Signe n° 8 : Vous souffrez d’une faible estime de soi

Le syndrome de l’imposteur comporte différents types :

  • Le perfectionniste ;
  • Le génie naturel ;
  • Le super-héros ;
  • Le solitaire ;
  • L’expert.

Une des caractéristiques du sentiment d’imposture qui rassemblent tous ces profils est le manque d’estime de soi. Si vous redoutez la réussite, le syndrome de l’imposteur vous rend la défaite encore plus difficile à digérer. Cela peut venir impacter négativement votre confiance et votre estime personnelle.

Ce manque d’estime se traduit notamment par une difficulté à s’exprimer avec aisance, la survenue de pensées intrusives, un sentiment de culpabilité et l’impression que tôt ou tard, votre entourage professionnel ou personnel va se rendre compte que vous le dupez.

Reprendre confiance en soi malgré le syndrome de l’imposteur
L’estime et la confiance en vous sont le nerf de la guerre dans cette histoire. Reprendre peu à peu confiance en vous va vous aider à surmonter les pensées parasites liées au syndrome de l’imposteur et vous permettre de comprendre que vous en valez la peine. Pour vous aider, vous pouvez faire appel à un professionnel de santé, pratiquer un sport dans lequel vous vous épanouissez, essayer le journaling, travailler sur vos croyances limitantes ou encore vous focaliser sur vos réussites pour prendre conscience de votre potentiel.

Signe n° 9 : La jalousie maladive complexe vos relations en amour

Il n’est pas rare que le sentiment d’imposteur dépasse la sphère professionnelle pour venir se glisser dans les relations amoureuses et les relations interpersonnelles. Cela peut se traduire par différentes pensées et croyances :

  • Vous souffrez d’une jalousie maladive ;
  • Vous avez l’impression de ne pas mériter le bonheur ;
  • Vous avez le sentiment de ne pas être assez attirant ou attirante pour votre partenaire ;
  • Dans votre couple vous pensez constamment que votre partenaire vaut mieux que vous ;
  • Vous vous comparez souvent aux anciennes relations de votre partenaire en pensant ne pas les « égaler ».

Ces comportements typiques du syndrome de l’imposteur sont majoritairement vécus par des femmes. Dr. Valérie Young, fondatrice du Impostor Syndrome Institute et experte internationalement reconnue pour son travail autour de ce syndrome, en parle dans son ouvrage The secret thougts of powerful women.

Cette jalousie peut guider la personne qui en souffre à développer des comportements d’attachement comme une dépendance affective avec son partenaire. Ce type de relation toxique vient nourrir le syndrome de l’imposteur, en faisant croire à la personne qui en souffre qu’elle ne mérite que ce qui lui arrive : il est donc essentiel d’en sortir.

Le syndrome de l’imposteur en couple… avec vous-même
Afin de vaincre ce syndrome et de ne pas lui laisser les portes de votre couple ouvertes, il est important d’en parler avec votre partenaire : faites-lui part de vos insécurités. Mettre des mots sur ce que vous vivez au quotidien va vous aider à dédiaboliser ce syndrome et instaurer des actions concrètes pour l’évincer de votre tête. Car le syndrome de l’imposteur loge avant tout dans votre tête !

Comment se faire diagnostiquer du syndrome de l’imposteur ?

Pour guérir du syndrome de l’imposteur, l’étape du diagnostic est cruciale. Diagnostiquer le sentiment d’imposture demande de trouver le professionnel de santé le plus à même de vous aider dans cette démarche.

Pour cela, vous pouvez faire appel à un psychologue, un psychiatre ou encore un thérapeute spécialisé dans ce type de trouble. La thérapie est un excellent moyen d’endiguer les pensées intrusives liées au syndrome de l’imposteur et de mettre des mots sur ce qu’il se passe lorsque votre cerveau tourne en boucle.

Comment guérir du syndrome de l’imposteur ?

Afin de guérir du syndrome de l’imposteur, il est primordial d’entamer un véritable travail sur soi. Comprendre d’où vient ce syndrome, ses mécanismes ainsi qu’identifier vos pensées intrusives est une première étape vers la guérison de ce trouble.

Selon les psychologues, 70 % des personnes sont confrontées au syndrome de l’imposteur au moins une fois dans leur vie. L’origine du syndrome de l’imposteur peut être une forte exigence au niveau de l’éducation parentale ou scolaire, qui vous pousse aujourd’hui à douter de vos aptitudes et de vos capacités, au travail ou dans votre vie sentimentale.

Afin de déceler l’origine de votre syndrome, un psychologue vous accompagnera dans un travail de thérapie pour vaincre le sentiment d’imposture. Intégrer le fait que le syndrome de l’imposteur prend racine notamment dans des blessures émotionnelles peut vous aider à vous en détacher, tout en faisant le point sur vos relations professionnelles, amoureuses ou encore familiales.

Lutter contre le perfectionnisme et accepter ses erreurs constituent notamment deux des étapes fondamentales dans la guérison du syndrome de l’imposteur.

Un syndrome rapidement envahissant
Le syndrome de l’imposteur, ou syndrome de l’autodidacte, est un trouble qui peut prendre beaucoup de place dans votre quotidien si l’on ne stoppe pas sa progression rapidement. Afin de se délester de ses peurs et de ce poids trop lourd à porter, suivre une thérapie avec un psychologue ou entamer un travail sur soi est nécessaire et sera salutaire pour votre bien-être et votre santé mentale.

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